S'habiller

Publication du jeudi 17 février 2022

 

Découvrez aujourd’hui, puisés dans les archives, quelques documents évoquant l’habillement.

 

Visuel : Costumes du département de la Sarthe, gravure sur bois d’Hatstrel, XIXe siècle (Archives départementales de la Sarthe, 4 Fi 54).

Une gravure sur bois parue dans la presse, représentant une scène de marché. Les femmes sont vêtues et coiffées de manière traditionnelle, en habits du dimanche et en sabots. Les cheveux sont retenus par une coiffe. Du début du XIXe siècle jusqu’aux années 1930, il a existé plusieurs modèles de coiffes en Sarthe, dont les plus connus sont la « bonnette », la « bise-moi vite » et la « galette ». L’homme à droite est également vêtu en costume du dimanche.

Vous pouvez retrouver des termes du parler sarthois liés aux costumes dans le Dictionnaire du parler de l’Hommedaire de Gaston Chevereau, disponible en ligne sur le site internet des Archives départementales de la Sarthe (fonds sonores), en cliquant ici.

 Visuel : « Aux dames prévoyantes », carte postale, Lerable-Garenne photographe, début du XXe siècle (Archives départementales de la Sarthe, 2 Fi 5967).

La devanture de la mercerie, bonneterie et lingerie « Aux dames prévoyantes » située à La Flèche.

Ce magasin dévoile sur la façade ce que les clientes peuvent trouver à l’intérieur : tricots, flanelles, corsets, rubans, fourrures, trousseaux, jupons, chemises, gants, mouchoirs, layettes. Le terme mercerie définit tous les accessoires se rapportant à l’habillement et à la parure : fil, aiguille à coudre ou à tricoter, rubans. 

 

Visuel : L’Illustration économique et financière, numéro spécial La Sarthe, Paris, G. Cadet imprimeur, 1926 (Archives départementales de la Sarthe, 15 F 4)

 

Un article extrait de L’Illustration économique et financière de 1926 consacré à la manufacture de chaussures Quinton du Mans, fondée en 1864 : « Pendant cette période de soixante années, qui a marqué un changement si considérable dans l’industrie de la chaussure, cette firme n’a cessé de suivre pas à pas l’évolution du progrès qui l’a conduite au degré de perfection qu’elle atteint ».

 

Visuel : mémoire de confection d’habits, 1771 (Archives départementales de la Sarthe, 1 J 1123).

Daté du 3 août 1771, voici un mémoire de confection d’habits, autrement dit en langage moderne une facture : « mémoire de l’ouvrage que je fait à monsieur de Saint-Paul pour avoir retourné une veste et une calote de pluche fine rouge » (sic).

 

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